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Titre : Le bébé tombé du train

Premier roman

Le bébé tombé du train

Hoestlandt, Jo (1948-)


Illustré par Andrée Prigent.
Oskar,©2011. Coll. Trimestre, 47 p.
Première parution 2011.

Dewey 848, CONST 44426, SDM B110364, Jeunesse

ISBN
 
 
Édition papier : 9782350006888
PréscolairePrimaireSecondaire
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Indices

CONST FLS ILSS-P ILSS-S CL
5 5.1 5 4

 

Chapitre thématique

Découvrir plusieurs facettes de l’amour

Pistes d'exploration

S'informer

Approfondir ses connaissances sur la Seconde Guerre mondiale et la Shoah pour mieux comprendre la portée historique du texte.

Enrichir son monde intérieur

Réfléchir à d'autres situations où des rencontres marquantes peuvent transformer la vie des gens. Pour enrichir sa réflexion, mettre en commun des livres illustrant de telles rencontres déterminantes, tel que Vieux Thomas et la petite fée.

Découvrir les richesses du texte

Se questionner sur l’identité de la mère et les raisons pour lesquelles elle a jeté son bébé en bas du train.

Mots-clés

Premier roman , adoption , amour (famille) , apprendre à changer , apprentissage , complicité , enfants de la guerre , liens intergénérationnels , portée historique-Europe (Guerre 1939-1945) , portée sociologique

Commentaire descriptif

Un jour, Anatole trouve dans son jardin un bébé tombé d’un train. Bourru et solitaire, le vieil homme décide de prendre soin de cet enfant qu’il prénomme Virgile. Lentement, la vie d’Anatole se transforme sous l’influence de cet enfant qui lui apprend à voir les choses autrement. Plusieurs années plus tard, une femme épuisée et mal en point arrive chez Anatole par la voie ferrée. En voyant Virgile, elle comprend aussitôt qu’il s’agit de son fils. Sans poser la moindre question, Anatole l’invite à entrer chez lui. Cet album raconte l’histoire touchante d’un vieil homme qui adopte un enfant trouvé. Le récit rend compte de façon évocatrice, et en peu de mots, de la complicité qui se développe entre les deux personnages. La fin de l'ouvrage permet de comprendre que la mère de Virgile fut, pendant la Seconde Guerre mondiale, prisonnière dans un camp de concentration allemand. Une fois la guerre terminée, elle tente de retrouver son fils qu’elle a jeté en bas du train pour lui éviter la mort. Des phrases courtes faisant économie de mots rythment le texte qui est accompagné d’illustrations en bichromie : jaune et noir. Des formes simplifiées et des couleurs en aplat mettent en images la relation privilégiée que partagent le vieil homme et l’enfant qu’il apprend à aimer.


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