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Titre : On m'appelle Enfant I

Roman sociologique

On m'appelle Enfant I

Tasane, Steve (1964-)



Gallimard jeunesse,©2019.146 p.
Première parution 2019.

Dewey 828.92 T197o, CONST 55011, Jeunesse

ISBN
 
 
Édition papier : 9782075122146
Format ePub : 9782075122160
Format pdf : 9782075122184
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Indices

CONST FLS ILSS-P ILSS-S CL
7

 

Lecture dans toutes les disciplines

S2
S1S2

 

Chapitre thématique

Aiguiser son sens politique

Pistes d'exploration

S'informer

S’informer sur la façon dont sont accueillis les réfugiés sans papiers dans son propre pays en consultant des sources documentaires pertinentes.

Discuter

S’inspirer des réflexions avancées dans le roman pour discuter des différentes valeurs présentes chez les personnages. S’interroger sur l’importance qu’elles revêtent.

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Découvrir les richesses du texte

Relever les passages du roman où le jeu représente une ressource pour surmonter les difficultés. Établir des liens avec sa propre expérience.

Mots-clés

Roman sociologique , entraide , identité , narration au « je » , personnes réfugiées , portée politique , relations entre enfants , situation dramatique

Commentaire descriptif

Un garçon de dix ans habite un camp de réfugiés. Surnommé I, il a pour amis M, une fille un peu plus âgée que lui, et E, le jeune frère de celle-ci. Tous trois s’entraident pour avoir la meilleure vie possible dans ce camp où il manque de tout. Heureusement, des bénévoles comme Charité et Ed sont là pour les aider. E apprend même à lire grâce à Ed. Mais un jour, les autorités décident de détruire le camp et de reloger les réfugiés ailleurs. L’opération ne se déroule pas sans heurts, et un nouvel ami des enfants manque à l’appel. L’auteur de ce roman s’est inspiré de faits d’actualité pour imaginer les personnages dont il raconte l’histoire. Aucune information n’est donnée quant aux lieux de l’action dans le but de conférer au récit une portée universelle. Il en va de même pour l’absence de noms des personnages, des enfants ayant tout perdu, même leur identité. Assurant la narration, le jeune I offre un regard à la fois naïf, poétique et lucide sur son expérience et les événements qui surviennent autour de lui. La narration, de même que les dialogues qui la ponctuent, met de l’avant la candeur des personnages de même que leur touchante vulnérabilité. Possédant une forte portée politique et éthique, le roman se termine sur une note symbolisant l’espoir d’un avenir meilleur pour les réfugiés.


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