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Titre : La croqueuse de pierre

Mythe et légende

La croqueuse de pierre

Flaherty, Louise 


Illustré par Jim Nelson. Traduit de l'anglais par Josée-Anne Paradis.
Kata,©2020.59 p.
Première parution 2017.

Dewey 741.5971 F575c, CONST 57776, Jeunesse

ISBN
 
 
Édition papier : 9782925077015
Format ePub : 9782925077336
Format pdf : 9782925077329
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Indices

CONST FLS ILSS-P ILSS-S CL
3 3.2 3

 

Chapitre thématique

Retracer les traditions et les patrimoines

Pistes d'exploration

S'informer

Comparer l’histoire et le mode de vie traditionnel des Inuit avec ceux d’autres familles de peuples autochtones, comme les Iroquoiens.

S’informer sur les Inuit, leurs traditions et les territoires qu’ils habitent en consultant des sources documentaires pertinentes, comme Les Inuits. Partager ses découvertes.

Regrouper livres et produits culturels

Découvrir le riche univers des contes, des légendes et des mythes inuit à travers différents livres, comme Histoire de la première baleine blanche ou La naissance du goéland.

Mots-clés

Mythe et légende , Inuit , légendes (autochtones) , meurtre , personnages (créatures imaginaires) , personnages (monstres) , ruses et astuces , tromperie

Commentaire descriptif

Deux jeunes filles inuites trouvent une grotte alors qu’elles cherchent plutôt de belles pierres rondes et lisses. Y entrant, elles en deviennent aussitôt prisonnières. Horreur! La caverne abrite les ossements et les têtes d’enfants disparus de la région! L’auteur de ces crimes, un esprit de la terre nommé Mangittatuarjuk, fait bientôt son arrivée et menace de tuer les jeunes filles. Mais grâce à la ruse, celles-ci parviennent à fuir et à alerter les hommes du village. C’est aussi grâce à la ruse que ces derniers réussissent à tuer la créature maléfique. Cette bande dessinée présente un conte inuit traditionnel entendu par l’autrice lorsqu’elle était enfant. Comme on le mentionne dans l’épilogue, cette histoire avait pour fonction éducative d’inciter les jeunes Inuit à ne pas trop s’éloigner du campement. Comportant des éléments d’horreur, le conte exploite habilement le caractère menaçant et surnaturel de la créature, en particulier dans les illustrations, des dessins aux lignes précises et au style réaliste. Sinistre à souhait, le personnage malfaisant est heureusement vaincu par des Inuit. Les dessins s’insèrent dans une mise en pages dynamique et bien structurée, parfois sous la forme de cases sans texte. Ce dernier alterne entre narration et brefs dialogues prenant place à l’intérieur de phylactères.


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