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Écrire et créer à son tour

Imaginer la vie de ces orphelins à la suite du naufrage de l'Empress of Ireland en 1914.

S'informer

Se documenter sur ce naufrage et le comparer à celui du Titanic.

Découvrir les richesses du texte

Relever les éléments du texte et les événements du récit qui créent le suspense dramatique.

Mots-clés

Roman historique , bateaux (Empress of Ireland) , courage , entraide , naufrages , orphelins et orphelines , portée historique-Québec (années 1910) , relations entre enfants , Saint-Laurent (fleuve) , sauvetages , situation dramatique

Commentaire descriptif

Le 28 mai 1914 à Québec, Jonathan, quatorze ans, et sa petite soeur Gracie s’embarquent avec leurs parents à bord de l’Empress of Ireland à destination de Liverpool. Ils vont rendre visite à leurs grands-parents. Durant les premières heures à bord, en compagnie d'un steward, les jeunes visitent l’impressionnant paquebot depuis les cuisines jusqu’à « l’enfer des machines ». Alors que le navire vogue dans les brumes nocturnes de l’estuaire du Saint-Laurent, un autre gros bateau, le Storstad, fonce sur l’Empress of Ireland et lui déchire le flanc. C’est le naufrage. Quatorze horribles minutes suffisent pour que le navire coule à pic. En tout, 1012 passagers et membres d’équipage périssent. Sur les 138 enfants à bord, seulement quatre survivent : Gracie et Michael sont du nombre. Accident bête, naufrage rapide, quasi-silence de la presse accaparée par une autre tragédie : le début de la Première Guerre mondiale. L’auteure brosse un tableau dramatique de l’évènement en imaginant l’aventure de ses jeunes héros. Un récit sobre et captivant, soucieux de respecter les faits dont l'auteure s'est inspirée en visitant le site historique de Pointe-au-Père. Quelques dessins à la plume, en noir et blanc, accompagnent discrètement le récit.